Sécurité Pénitentiaire : Le Général de Brigade Mohammed Charrif Mandza à la tête du Commandement en Chef
Nommé lors du Conseil des Ministres du 18 septembre 2013 comme nouveau Commandant en Chef de la Sécurité Pénitentiaire, le Général de Brigade Mohammed Charrif Mandza a été officiellement installé dans ses nouvelles fonctions, le 23 septembre 2013 à Libreville, par le Ministre en charge de la Justice Gardes des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, Porte-parole du gouvernement, Mme Ida Reteno Assounouet qui était assistée pour la circonstance du ministre délégué à l'Intérieur, Aimé Nzoutsi Popa.
C'est la cour d'honneur de la prison centrale de Libreville au quartier gros bouquet qui a servi de cadre à cette cérémonie sobre et à laquelle avaient pris part, outre les officiers généraux, plusieurs personnalités en uniforme, des parents, des officiels, des amis et connaissances des promus, venus rehausser de leur présence cette passation de charges.
Après le passage en revue des troupes de ce corps paramilitaire par le ministre de la Justice, le tour est venu aux deux généraux (l'entrant et le sortant) de se passer le fanion de commandement sous l'oeil attentif de Mme le Garde de Sceaux. Après, vint alors, le moment de la lecture par Mme le ministre, de la décision qui fait du général de brigade Mohammed Charrif Mandza, le nouveau commandant en Chef de la Sécurité pénitentiaire. Un moment fort et plein d'émotion qui a déclenché des claquements des chasseurs d'images présents ce jour à la cour de la prison centrale de Libreville.
Après cette étape, un défilé militaire des éléments de ce corps a clôturé la présente cérémonie dans la pure tradition des hommes en tenue. Il faut cependant rappeler que les deux officiers supérieurs ( le général de brigade Mohammed Charrif Mandza et le colonel Germain Effayong Onong), respectivement Commandant en chef et commandant en chef en second de la Sécurité pénitentiaire ont été nommés lors du Conseil des ministres du 18 septembre 2013.